La consommation énergétique cataclysmique du Bitcoin, info ou intox ?

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Le Bitcoin. Un grand nom. Au sein des débats constants à propos de la cryptomonnaie, Web3 et la blockchain, la question de l’écologie se pose régulièrement. Entre info et intox, quelle est la réalité derrière la consommation énergétique du Bitcoin, reine de la monnaie virtuelle. 

Pour commencer, qu’est-ce que la crypto ? 

Conçue sous système appelé “token”, la cryptomonnaie constitue l’économie de l’électronique et du futur. Hébergée sur un réseau décentralisé appelé Web3, cette dernière permet d’effectuer des achats, échanges et minage sur la blockchain. L’avantage de la crypto réside dans sa transparence et sa “méritocratie”. 

Les bitcoins (ou le Bitcoin quand on parle de la monnaie en elle-même) font partis des devises virtuelles, les jetons s’échangent de pair à pair (appelé P2P) et se stockent dans un portefeuille électronique, plus communément surnommé wallet

L’impact écologique du Bitcoin 

Désormais incollable sur le sujet, parlons maintenant de la consommation écologique des bitcoins. Vivement critiquée sur le sujet, la monnaie numérique ne siège guère dans le cœur des écologistes. Pour info, la Bitcoin (ou BTC dans le langage populaire), c’est entre autre… 1 billion de dollars et a dépassé le niveau de 58,000 XNUMX dollars américains, en février 2022. 

Ceci, malgré les concurrentes toujours plus nombreuses, avec Ethereum (ETH dans le milieu) et le Doge Coin d’Elon Musk qui lui emboîtent régulièrement le pas. 

Selon la source Coinshares, l’émission de CO2 du Bitcoin s’élèverait à 0,08 % de la production mondiale. Des chiffres qui dessinent un avenir et une réputation nettement moins sombres à la cryptomonnaie que les usuels arguments rabâchés pour dissuader la majorité des curieux. 

La cryptomonnaie, Bitcoin, ne requiert pas d’énergie pour exister, on s’oriente plutôt vers les machines de minage qui servent à la “nourrir”. Au même titre que d’autres crypto-monnaies. 

Ainsi, on conclut que si l’énergie était renouvelable, Bitcoin s’inscrirait dans la liste des utilisateurs de l’énergie verte. 

La Bitcoin et crypto, le remplacement de la monnaie traditionnelle ? 

Est-ce que le porte-monnaie rempli de billets et de pièces n’existera plus dans dix ans ? En effet, la communauté de la blockchain s’élargit de jour en jour, et c’est pas moins de 12 milliards de transactions validées, et des investissements continuels. Les banques s’ouvrent petit à petit à ce nouveau moyen de paiements, sans oublier les commerces et les conventions organisées en l’honneur de la blockchain. 

Le point culminant de la crypto, c’est la spéculation sur son cours. On consulte un site ou une personne spécialiste en cryptographie (appelé cryptographe) qui nous donnera la réponse à nos questions. En revanche, il ne pourra pas prédire l’avenir de toutes les cryptos, des milliers terminant dans les abîmes. 

La différence entre un paiement électronique classique et virtuel 

Selon les calculs exercés grâce aux machines de minage et la production de Bitcoin, ces derniers consommeraient jusqu’à 56 fois moins d’énergie que le système de transaction sécurisée classique. Dû à la délocalisation des mineurs depuis l’interdiction de miner la crypto en Chine, la relocalisation de la chaîne de blocs, résidant désormais aux États-Unis. Sans oublier de citer l’Indonésie, le Québec ou encore l’Islande. 

Uniquement dans le but de remplir les portefeuilles des investisseurs. Sur une seconde idée, la maintenance de portefeuille électronique ne se qualifie pas non plus parmi des arguments valides. Une grande majorité de la population ayant recours à des sites comme PayPal ou encore Lydia. Dans le but de recevoir salaire, indemnités, virements et paiements, etc. 

Que ce soit le BTC, ETH, ou autre, la cryptomonnaie ne se différencie en rien (dans l’absolu) d’une autre monnaie, au contraire. Pour cause, des sites comme Binance lance sa propre carte de débit basé sur les tokens. Kraken ainsi que eToro constituent pareillement leurs contenus sur l’achat, la vente, l’échange et le stockage de jetons. 

La diabolisation des cryptomonnaies dans les médias 

Quand on parle crypto-monnaie, on nous le cite régulièrement par trois mots-clés précis : spéculation, moyen de paiement, monnaie virtuelle. Cependant, ces dires trouvent leurs sources dans un manque d’éducation sur le sujet. Ou même une valorisation des banques centralisées pour garder ces dernières sur le Top 1 des plateformes utilisées. 

Fort heureusement, de nos jours, cette diabolisation régresse grâce à des vidéastes tels que Hasheur. La réputation et l’honneur de la monnaie électronique se restaure peu à peu. Les générations récentes s’ouvrent de plus en plus à l’arrivée des nouvelles technologies. Où la façon d’acheter, effectuer des transactions, qui permettent de frayer un chemin dans lequel le matériel se réduirait pour le numérique. 

Le mouvement écologiste s’attaque continuellement aux diffuseurs de CO2, dont les monnaies virtuelles (incluant Bitcoin) en sortant des chiffres incongrus dont, souvent, les sources proviennent d’autres utilisateurs des réseaux afin de dissuader les intéressés. 

Sur des plans plus lumineux, des dons de cryptos parvinrent à l’Ukraine au début du conflit russo-ukrainien. 

Conclusion 

Sur l’échelle des pratiques moralement grises, la consommation énergétique des Bitcoins reste relativement basse, elle ne demande guère plus qu’une transaction ou virements de banque centralisée. Le seul argument réellement le nombre d’adeptes grandissants, mais considérant les avancées technologiques, cet argument même se réfute. 

Est-ce que la cryptomonnaie est écologique ? 

La réponse demeure exactement la même : ni oui, ni non. 

Comme tous les éléments qui requièrent internet, et de facto, l’électricité, la cryptomonnaie Bitcoin (ou autre) ne se trouve guère sur la liste des éléments écologique. Toutefois, est-elle plus dangereuse que les autres ? Non plus. 

Peu importe la masse monétaire, une fois celle-ci utilisée à grande échelle, son impact croîtra considérablement. Tout repose dans la mesure et la discipline de soi, le respect de limites claires, à fixer sur ce que l’on consomme, ou pas. 

Comme la quasi-entièreté de ce que nous peu, ou tout simplement pas, une forme de peur et de crainte se forme et devient un mouvement général. Mouvement généralisé qui, par la suite, deviendra le facteur d’un manque de bonne volonté de se renseigner. Qui causera irrémédiablement le ralentissement de l’avancée d’une technologie. Une, potentiellement adaptée et conçue afin de rassurer. 

Garantissant, sans équivoque, une utilisation mature et sécurisée des nouvelles devises virtuelles qui se populariseront au plus grand nombre. 

Et vous, que pensiez-vous du Bitcoin et de son impact écologique avant de vous renseigner ? Dites-nous tout en commentaire ! 

 

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