La blockchain est une base de données solide, distribuée, inviolable et cryptographiquement sécurisée.
La blockchain ne stocke que le code de cryptage des documents, et une fois stocké, il est sauvegardé pour toujours. L’endroit idéal pour stocker les droits de propriété, les références, les identités (d’objets ou de personnes) et les accords entre les parties.
Personne ne peut tricher, corrompre ou pirater les données inscrites dans les blocs de la blockchain. Blockchain fonctionne grâce aux Smart Contracts, qui sont des protocoles informatiques qui facilitent, vérifient ou font respecter les accords d’une négociation ou l’exécution d’un contrat, de manière automatique et transparente.
La blockchain fonctionne sur des réseaux de nœuds qui stockent toutes les informations. Il existe trois types de réseaux de base :
Réseaux privés : formés par des nœuds captifs.
Réseaux semi-publics : formés par des nœuds contrôlés par des professionnels indépendants.
Réseaux publics : formés par des nœuds indépendants et géographiquement dispersés.
Blockchain est un registre distribué basé sur le réseau Bitcoin. Toutes les transactions confirmées sont jointes à la blockchain. De cette façon, le solde qui apparaît dans votre porte-monnaie est vérifié. Les transactions que vous effectuez sont également vérifiées de cette manière, ce qui garantit à la fois le recouvrement et le paiement. L’intégrité et l’ordre chronologique de la blockchain sont garantis par la cryptographie.
La définition originale a été publiée par Satoshi Nakamoto en 2008 et mise en œuvre dans le code source du bitcoin en 2009. Cette conception a été utilisée pour d’autres bases de données distribuées et d’autres crypto-monnaies. En 2014, le terme « Blockchain 2.0 », a commencé à être utilisé comme une base de données distribuée et a commencé à faire la distinction entre le bitcoin en tant qu’actif et la Blockchain en tant qu’infrastructure de confiance.
