Cryptosis ? Blabla nouvelle génération ou réel danger ?
Les cryptobros pour les hommes, et les crypto-baddies pour les femmes ! Cryptosis, le nouveau terme science-fi qui semble tout droit tiré de Matrix ou Blade Runner, mais quelle est la véritable signification derrière ce terme new age ?
Un nouveau type d’addiction ?
Si certaines personnalités influentes clament haut et fort que le jeu vidéo est une addiction, ou encore l’achat compulsif de vêtement, existe-t-il une réelle une addiction à l’achat, la revente, le minage et la conservation de cryptomonnaie ?
La cryptomonnaie est une devise comme une autre, et bien sûr, cela ne la différencie pas du classique trading et échange bancaire que nous exerçons au sein de nos banques. Twitter s’enflamme dès qu’une célébrité se vante de son dernier NFT, ou même d’une montée ou décente d’une devise telle le Bitcoin et Etherum.
Est-ce qu’un nouveau mal va s’étendre parmi la fameuse “Gen Z” ? C’est une question qui mériterait de se poser. On note l’arrivée de ce terme sur le site populaire Urban Dictionary qui relate des derniers argots et patois de la langue de Shakespeare. Dans des termes plus ou moins crus et simplistes. Évidemment.
Voyez-vous, il n’était pas rare auparavant d’avoir une addiction à certaines modes ou choses de la vie de tous les jours, comme la pornographie ou encore la salle de sport pour les plus vétérants.
Cependant, les diners de famille chez papi et mamie chuchotent désormais le terme cryptosis, parce que “les jeunes sont toujours sur leurs téléphones.” Pour citer votre grand-père qui est très certainement convaincu que de son temps, c’était mieux.
Hypocondriaque ou réelle maladie ?
Lieu central de l’épidémie ? New York, New York, comme nous le chanterait Frank Sinatra. La convention NFT.NYC en serait la cause. Plus de 3000 personnes auraient été répertorier dans la liste d’attente afin d’exprimer leur (onéreuse) passion commune pour la blockchain.
Qui et combien sont les contaminés ?
Randi Zuckerberg
Pas de patient zéro ici. La sœur de Mark Zuckerberg, est notre première victime. La Twittos aux 200 000 et quelques followers voue un tel amour à la cryptomonnaie, qu’elle en offre une parodie basée sur la chanson d’Adèle, Hello.
Le speech ? ”Hello, it’s me, would you like to learn about exchanging cryptocurrency ?” (Bonjour. C’est moi, souhaites-tu apprendre l’échange de cryptomonnaie ?) chante-t-elle accompagnée d’un look Vintage tout droit sorti des gardes-robes business style Années 50.
Si vous êtes un adepte de Web3, vous y croiserez en épopée Big R.Z. en train de naviguer parmi ses huit projets liés à la plateforme.
Les Axie Sisters
On vous a parlé une fois d’Axie Infinity, mais saviez-vous que le jeu rassemble ses adeptes ? Les Axie Sisters crient leurs amours dans des chansons dédiées au jeu vidéo, un titre tel que “WAGMI” acronyme de “We’re all gonna make it !” (Nous allons tous y arriver) ayant pour objectif de booster le moral des crypto-enthousiastes et même des débutants…
La raison de l’addiction ?
Elle est toute à chacun. Cependant, selon le média Vox : on constate souvent que l’engouement et le fanatisme de certaines personnalités (dont le compte en banque fait rêver, soyons honnête vous et moi).
Internet, c’est le pays du faux-semblant. Fréquemment, les gens atteints de ce genre de problème ne font que se chercher et désire une vie qui n’est peut-être pas faite pour eux. L’addiction, celle-ci comme une autre, coûte cher.
C’est pour cela que Coinaute ne vous y encourage pas. On vous parle des bons comme mauvais côtés de la crypto( et de la Blockchain.
Et vous, pensez-vous qu’il s’agit réellement d’un nouveau cas d’addiction ?
